Mon petit paradis danois - 1ère partie - l'arrivée
A mon retour du Danemark, je vous avais raconté, en 3 parties, mon voyage depuis le Danemark jusqu'à Thonon.
Voir:
http://histoires.vraies.over-blog.com/20-categorie-12494345.html
Aujourd'hui, je vais vous parler de notre migration annuelle vers notre petite maison de vacances danoise, où nous séjournons de début mai jusqu'à la fin septembre. J'aime bien les récits à épisodes et je commencerai donc aujourd'hui par l'arrivée, ensuite vous ferez le tour de la maison et du jardin, puis vous verrez les environs, etc.
Quand le ferry, en provenance de l'île de Fehmarn (Allemagne), entre dans le port de Rødbyhavn, le voyage est presque terminé, puisque notre maison est à 7 km seulement.
Comme le lotissement (point rouge) se trouve au bord de la mer, nous le devinons dans le lointain.
Après avoir quitté la route nationale et roulé à travers champs, quand nous ne sommes plus qu'à 1 km, je suis comme un cheval qui sent l'écurie ! C'est un vrai moment de bonheur. Cette photo a été prise non pas à notre arrivée, mais après la moisson. Mais c'est bien la même maison et la même route. En revanche la photo suivante a été prise lors de notre arrivée, en mai 2012.
On aperçoit enfin, au fond à droite, la première maison du lotissement
Les petites maisons de ce lotissement de vacances, qui est situé au bord de la mer Baltique, sont cachées derrière de grands arbres, sauf les plus récentes qui ont été bâties dans un champ, qui devait être une réserve naturelle, mais qui a été soudian déclarée zone constructible par la commune, qui avait besoin d'argent.
Nous sommes heureusement dans l'ancienne partie qui date de 1960. C'est un havre de paix en pleine nature, loin de la "civilisation" , à 7 km de la ville la plus proche.
Enfin arrivés ! Nous quittons Thonon dans l'après-midi (le train auto-couchettes part vers 21 heures) et nous arrivons en général le lendemain, entre midi et 1 heure.
Les jardins ne sont pas clos comme en France. S'il y a une séparation, elle consiste en général en une haie ou en des arbustes plus ou moins rapprochés.
Seuls quelques arbustes espacés nous séparent de nos voisins.
Avant même de déjeuner ou de défaire les bagages, je m'empresse de libérer mes plantes qui ont fait les 1200 km dans le coffre de la voiture et de les installer ici et là. La maison reprend vie.
A suivre ....